En images et en musique, le making of de ma robe de mariée Emmaüs...
mardi 8 novembre 2011
the wedding dress : the making of
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Pays/territoire :
Paris, France
the wedding dress
J'ai eu la chance de participer au projet en partenariat avec Emmaüs et La Fabrique du 3e (association de l'ESAA Duperré) : l'Emmaüs de Neuilly-sur-Marne, encouragé par Nicole Dauguens, a confié aux élèves (ainsi qu'à quelques anciennes motivées, héhé !) de BTS Textile de l'école Duperré encadrées par Marie Rochut, des robes de mariée à réinventer...
Voici le résultat en ce qui me concerne !
J'ai eu le plaisir de travailler avec une très belle "matière première" : une robe toute cousue main dans un crêpe tout fluide...superbe ! Je l'ai brodée de dentelles anciennes et de perles, assemblées à la main au fil de soie de Suzhou.
Les robes seront exposées les 11, 12 & 13 novembre 2011 au Salon du Mariage, Porte de Champerret à Paris.
Elles seront mises en vente à l'Emmaüs de Neuilly-sur-Marne les 18 & 19 puis 25 & 26 novembre 2011 (informations ici)
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Paris, France
vendredi 28 octobre 2011
voyage à motocyclette
C‘était
un matin d’octobre. Profitant du pont du 17, j’étais allé à Córdoba.
Sous la treille de la maison d’Alberto Granado, nous avons pris du maté sucré
et commenté les dernières nouvelles de cette « chienne de vie », tout
en nous consacrant à la remise en état de la Poderosa II. (…)
Portés
par notre rêverie, nous sommes arrivés dans de lointains pays, nous avons
navigué sur des mers tropicales et visité toute l’Asie. Et soudain, glissée en
passant comme faisant partie de nos rêves, la question a jailli :
« Et
si nous allions en Amérique du Nord ?
-
En Amérique du Nord ? Comment ?
-Avec
la Poderosa, mon vieux. »
Voilà
comment fut décidé le voyage, un voyage que l’on a toujours mené en fonction du
grand principe fixé à ce moment-là : l’Improvisation. Les frères d’Alberto
se sont mis de la partie et chacun, par une tournée de maté, a scellé
l’engagement inéluctable de ne pas flancher avant de voir nos désirs réalisés.
Le reste n’a été qu’une suite monotone de tracasseries à la recherche de
permis, de certificats et de documents, c’est-à-dire des moyens de franchir
toutes les barrières que les nations modernes opposent à qui veut voyager. Pour
ne pas compromettre notre prestige, nous avons décider de n’annoncer qu’un
voyage au Chili. Ma mission la plus important était de réussir un maximum
d’examens avant de partir. Celle d’Alberto, de préparer la moto pour un voyage
aussi long et d’étudier l’itinéraire. Tout le côté « transcendant »
de notre entreprise nous échappait alors, nous ne voyions que la poussière du
chemin et nous-mêmes sur la moto, avalant des kilomètres dans notre fuite vers
le nord.
Je sais maintenant, en acceptant ce fait avec une sorte de fatalisme, que mon destin – ou plutôt le nôtre, car en cela Alberto est pareil que moi – est de voyager. Pourtant, il y a des moments où je pense avec un profond désir aux régions merveilleuses de notre Sud. Peut-être qu’un jour, fatigué de courir le monde, je reviendrai m’installer sur cette terre argentine, peut-être pas pour toujours, mais comme en un lieu de transit vers une autre vision du monde. Et je visiterai à nouveau la zone des lacs de la cordillère et j’y habiterai.
Dans la soirée, après d’épuisantes parties de canasta, nous regardons la mer immense, pleine de reflets vert clair. Ensemble, appuyés au bastingage, mais très distants l’un de l’autre, chacun volant dans son propre avion vers la stratosphère de ses rêves. Et nous comprenons là que notre vocation est de sillonner indéfiniment les routes et les mers du monde. En restant toujours curieux, en regardant tout ce qui se présente à nos yeux. En flairant tous les coins mais toujours sur la pointe des pieds, sans prendre racine nulle part, ni s’attarder à étudier le substrat de quelque chose : la périphérie nous suffit.
Ernesto Che Guevara, Voyage à motocyclette (Lationoamericana),
1951
Postface de Ramón Chao, Le Voyage
du condottiere
« Si
tu remets ton affaire au conseil de tes voisins, les uns diront blanc, les
autres noir », écrit Sancho Pança dans une lettre mémorable. La plupart
des choses de ce monde étant grises, elles contiennent forcément du blanc et du
noir : les êtres qui ont un destin parcourent toute la gamme de couleurs
et chacun trouve en elles ce qu’il veut bien chercher.
lundi 10 octobre 2011
samedi 8 octobre 2011
lundi 3 octobre 2011
octobre
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Vélizy-Villacoublay, France
dimanche 25 septembre 2011
l'essonnade
Peinture, sponge art et autres cafouillages artistiques, visite clandestine de monuments désaffectés, cabane en osier dansée, crumble à la rhubarbe et fondant au chocolat du Silo, Meret Becker et la Juine en fond sonore... petit résumé illustré de mon vendredi à Boigny !
Pays/territoire :
Méréville, France
dimanche 18 septembre 2011
versailles
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Versailles, France
mardi 13 septembre 2011
mardi 6 septembre 2011
another sunny afternoon
i ♥ les chats tigrés fous sur les tapis persans et aussi les cornes de gazelle qui dorent au four et embaument la maison de fleur d'oranger !
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Issy-les-Moulineaux, France
vendredi 2 septembre 2011
jours de pluie et de soleil aussi
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samedi 27 août 2011
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